Partir de là, arriver ici, aller loin. Passer le canap', soulager son poids au delà des généralités, se battre contre l'inconnu. Les oiseaux sont tous les autres trésors, l'ouverture réclame une fracture de besoins fantômes. Le respect ne se commande pas à domicile, il se demande à l'homicide et l'homme ainsi décidé peut arriver à l'automne de son son. And if we fall ?
Get back on your pshiit ! Balance ton canap', balance ! Et s'affaler dessus. Je suis un éternel, j'ai la trace parfaite et le rythme saccadé. Même un million d'années de battements d'ailes ne pourraient effacer les roses d'autrefois ou l'essentiel futur. Hybride de cœur et infini d'univers je prends tous les jours ma dose en cherchant mon soleil. Cherche, cherche, cher. Soleil ou sommeil ? Un lucide ayant peur du vide, un avide séchant sa peur aux rayons de l'astre apatride.
Même si arriver à s'hélicer au-delà de là-haut participe au vol craqué d'un parquet liquide et électrique. Ben basta ! Je m'accrocherai au froid, aux mille morceaux. Je m'envolerai. Je me suis envolé. Mes ailes engourdies pèsent sur les nuages mais jamais je n'aurais pensé pouvoir autant jouer de mon poids sur des éléments sus, mais rudes.
Adieu l'étiolement, je brûle et je n'attends rien, de mes doigts je libère les fleurs. Affole-toi, je file. Les poignets ouverts je perce les cieux, to be loved. Can't wait. Toubib blanc en séance, carré blanc en séquence. Rien ne changera la vie l'important restant de pouvoir voir l'envie.
J'attends que les chimères viennent où s'arrêtent le temps, leur reflet d'or sabre le vent et exige des enfants. L'exégèse patriarcale veut m'endormir, restant dragon, sans respect et avec forte crainte. Je ne suis pas pensée, j'acte l'art quand je suis seul dans ma citadelle. A l'ennui, mes nuits sont plus belles. Kenavo jour. Écume tes sauvages temps et branle tes splendides mi-temps. Je donne et j'abandonne : fini les courses et bonjours les ours. Comme elle qui me regarde depuis l'ennui m'endormir pour toujours, tandis qu'elle vainc vainement les pesantes routes sauvages de la fée morte.
Mais quand le satin tuera la pierre, quand la voix flinguera le champagne, chaque semaine ou mois sera l'entrée des artistes. J'y irais, sans draps, sans toit. Et sur le piano des nuits, sur l'existence des bras, je tracerai la piste aux étoiles loyales que les apaches reniflaient désespérément. PAW !
Stop to me, it's up to me : my destination. Jump off, take off, don't land. The difference is that you can't and I do, I bloody make another another ropecutter. Mindblower, wristcutter, harder, better, faster, stronger. Won't you kiss the sky ? I'll keep it to myself again.
La félicité n'est pas express, ce vieux rafiot n'a aucune envergure. C'est trop laid. Va peur, j'ai tout essayé, mais la cuite vers l'avant a fini par corporaliser mes vergets. Des grands axes, j'ai transporté tes méandres. L'année musicale : l'an do. Contrat laid transporté licitement avec envergure. Aucun bout, juste un export.
Get back on your pshiit ! Balance ton canap', balance ! Et s'affaler dessus. Je suis un éternel, j'ai la trace parfaite et le rythme saccadé. Même un million d'années de battements d'ailes ne pourraient effacer les roses d'autrefois ou l'essentiel futur. Hybride de cœur et infini d'univers je prends tous les jours ma dose en cherchant mon soleil. Cherche, cherche, cher. Soleil ou sommeil ? Un lucide ayant peur du vide, un avide séchant sa peur aux rayons de l'astre apatride.
Même si arriver à s'hélicer au-delà de là-haut participe au vol craqué d'un parquet liquide et électrique. Ben basta ! Je m'accrocherai au froid, aux mille morceaux. Je m'envolerai. Je me suis envolé. Mes ailes engourdies pèsent sur les nuages mais jamais je n'aurais pensé pouvoir autant jouer de mon poids sur des éléments sus, mais rudes.
Adieu l'étiolement, je brûle et je n'attends rien, de mes doigts je libère les fleurs. Affole-toi, je file. Les poignets ouverts je perce les cieux, to be loved. Can't wait. Toubib blanc en séance, carré blanc en séquence. Rien ne changera la vie l'important restant de pouvoir voir l'envie.
J'attends que les chimères viennent où s'arrêtent le temps, leur reflet d'or sabre le vent et exige des enfants. L'exégèse patriarcale veut m'endormir, restant dragon, sans respect et avec forte crainte. Je ne suis pas pensée, j'acte l'art quand je suis seul dans ma citadelle. A l'ennui, mes nuits sont plus belles. Kenavo jour. Écume tes sauvages temps et branle tes splendides mi-temps. Je donne et j'abandonne : fini les courses et bonjours les ours. Comme elle qui me regarde depuis l'ennui m'endormir pour toujours, tandis qu'elle vainc vainement les pesantes routes sauvages de la fée morte.
Mais quand le satin tuera la pierre, quand la voix flinguera le champagne, chaque semaine ou mois sera l'entrée des artistes. J'y irais, sans draps, sans toit. Et sur le piano des nuits, sur l'existence des bras, je tracerai la piste aux étoiles loyales que les apaches reniflaient désespérément. PAW !
Stop to me, it's up to me : my destination. Jump off, take off, don't land. The difference is that you can't and I do, I bloody make another another ropecutter. Mindblower, wristcutter, harder, better, faster, stronger. Won't you kiss the sky ? I'll keep it to myself again.
La félicité n'est pas express, ce vieux rafiot n'a aucune envergure. C'est trop laid. Va peur, j'ai tout essayé, mais la cuite vers l'avant a fini par corporaliser mes vergets. Des grands axes, j'ai transporté tes méandres. L'année musicale : l'an do. Contrat laid transporté licitement avec envergure. Aucun bout, juste un export.
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