Bla bla bla
D'une intolérance magnanime à une compassion barbare
Les mots tournent
Une étrange saleté recouvre mon esprit
Inconscient incontinent, un continent (in)conscient
J'écris mal, mais j'écris
Les mots tournent d'une idée à l'autre
dansent autour d'une tête qui n'est pas la vôtre
ils asticotent et persévèrent
ils dureront tant que durera la terre
mais ces mots s'échappent et se matent
avec le bon filet on les capture par centaines
alors je veille, mon arme droite
Mots, vous êtes ma cible, quelle déveine !
Je suis mon seul jus. Je.
C'est en charentaises que je conquerrai l'univers !
Souffler sur des plats froids
Des visages, des fissures. J'entretiens le rivage, tu lis ma commissure.
Le temps qu'on le prenne il est déjà trop
Les yeux secs
Perfidité exquise, redoutable roublardise
Envies voyageuses, volonté aléatoire, prise de risque mesquine. Tu ne doutes de rien, l'incertitude refoulée en ton sein et tu erres sur ta propre satisfaction, calée dans le rien, dans l'exégèse de l'attente d'un moment qui jamais n'arrivera. ce pas tu dois le franchir, seul ou de force. Il suffit qu'une neurone y aspire pour que tout s'enclenche, qu'enfin les batteries redémarrent et que toi tu te marres. Une neurone. Un putain de bout du monde.
D'une infinie mansuétude, je passe à une complète solitude
Les autres m'expirent
Tenter le temps
Combien paierait un fils de pute pour un complexe œdipien ?
Cours, cours plus
Crève toi, crève d'en pouvoir
Crève d'en vouloir, crève en rêve
mais (C)RÊVE !
Prends la sève, éclate l'arbre
Et ta mère, elle est heureuse ?
D'une intolérance magnanime à une compassion barbare
Les mots tournent
Une étrange saleté recouvre mon esprit
Inconscient incontinent, un continent (in)conscient
J'écris mal, mais j'écris
Les mots tournent d'une idée à l'autre
dansent autour d'une tête qui n'est pas la vôtre
ils asticotent et persévèrent
ils dureront tant que durera la terre
mais ces mots s'échappent et se matent
avec le bon filet on les capture par centaines
alors je veille, mon arme droite
Mots, vous êtes ma cible, quelle déveine !
Je suis mon seul jus. Je.
C'est en charentaises que je conquerrai l'univers !
Souffler sur des plats froids
Des visages, des fissures. J'entretiens le rivage, tu lis ma commissure.
Le temps qu'on le prenne il est déjà trop
Les yeux secs
Perfidité exquise, redoutable roublardise
Envies voyageuses, volonté aléatoire, prise de risque mesquine. Tu ne doutes de rien, l'incertitude refoulée en ton sein et tu erres sur ta propre satisfaction, calée dans le rien, dans l'exégèse de l'attente d'un moment qui jamais n'arrivera. ce pas tu dois le franchir, seul ou de force. Il suffit qu'une neurone y aspire pour que tout s'enclenche, qu'enfin les batteries redémarrent et que toi tu te marres. Une neurone. Un putain de bout du monde.
D'une infinie mansuétude, je passe à une complète solitude
Les autres m'expirent
Tenter le temps
Combien paierait un fils de pute pour un complexe œdipien ?
Cours, cours plus
Crève toi, crève d'en pouvoir
Crève d'en vouloir, crève en rêve
mais (C)RÊVE !
Prends la sève, éclate l'arbre
Et ta mère, elle est heureuse ?
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